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Saint-André Contact
[N° 168 ]
Noël 2015
- 37
e
année
Ce 27 septembre, nous avons accueilli un ancien élève de Saint-André, Guillaume Guilbert,
devenu journaliste à la RTBF. Il a accepté de répondre à quelques questions.
Qu’est-ce qui vous a donné l’envie de de-
venir journaliste?
Au départ, je voulais être journaliste sportif,
car j’aime beaucoup le sport, essentielle-
ment le volley. Je rêvais d’ailleurs de devenir
sportif de haut niveau. Aujourd’hui, je suis
journaliste pour les informations générales
et ce travail me plaît. J’ai choisi cemétier, car
je le trouve d’une haute importance. Notre
pays est un pays démocratique et nous
avons cette chance de connaître la liberté
d’expression.
Depuis quand vous est venue l’idée d’être
journaliste?
À peu près à votre âge, c’est-à-dire vers la
quatrième secondaire. À votre âge, j’adorais
le sport et tous les matins, j’ouvrais le jour-
nal aux pages sportives. En grandissant, je
me suis intéressé à ce qui était écrit à côté.
Je lisais de plus en plus jusqu’à lire presque
l’entièreté du journal.
Avez-vous étudié beaucoup pour exercer
votremétier ?
Cinq ans après mes études secondaires à
Saint-André : 3 ans de communication et
ensuite, 2 ans de journalisme. J’ai aussi per-
fectionnémon anglais et mon néerlandais.
Quelle est votre fonction
préciseactuellement?
Je suis journaliste radio à
la R.T.B.F. Je travaille à la
B.L.I.
(Ndlr Bureau local
d’information)
à Mons.
J’effectue des reportages
sur le terrain et vais rare-
ment sur le plateau.
Comment faites-vous pour trouver les
mots justes sur des sujets sensibles ?
Tout d’abord, je pèse mes mots et j’en parle
à mon équipe et l’on avise le cas échéant. Il
est très important d’utiliser les bonsmots et
les bons temps de conjugai-
son. À l’école de journalisme,
on m’a appris quelques tech-
niques pour résumer un fait
très rapidement. Il faWut se
centrer sur les mots-clefs et
trouver une conclusion.
Si je peux vous donner un conseil, c’est de
vous accrocher et de tout donner pour arri-
ver à votre but.
�
Propos recueillis par les 3A
L’ÉCOLE
REÇOIT DES INVITÉS
Si on ne parvient
pas àpasser par la
porte, il faut pas-
ser par la fenêtre !